The chosen

Bienvenue, vous faites vos premiers pas pour vivre l’expérience de la série en streaming «L’ÉLU», version française de la série «THE CHOSEN». C’est un succès monstre et une très belle adaptation de la vie et de la personne de Jésus de Nazareth.

Nous aimerions beaucoup démarrer un petit groupe de partage autour des épisodes de la série en 2024. Si l’idée vous intéresse, n’hésitez pas à me contacter, David, curé.

Voici mon numéro de téléphone cellulaire ainsi que mon adresse courriel:

450-531-1372

davidlabossiere@hotmail.com


D’abord, comment accéder à la série ? Vous pouvez y accéder de plusieurs façons:

(1) Grâce à l’application « The Chosen » disponible sur le Google Play Store ou l’Apple Store pour votre téléviseur ou téléphone intelligent.

(2) Sur la plateforme de streaming Netflix. La série en français se nomme «L’ÉLU» ou «The chosen» en anglais original.

Voici un aperçu des partages de groupe que nous pourrions vivre: partage de l’épisode #1 saison 1

«THE CHOSEN» – «L’ÉLU»

  1. Appropriation

Avant de visionner l’épisode 1, je prends le temps de lire ces deux passages bibliques:

  • Esaïe 43, 1
    « Peuple de Jacob, maintenant ton créateur, lui qui t’a formé, Israël, le Seigneur te déclare : “N’aie pas peur, je t’ai libéré, je t’ai appelé personnellement, tu m’appartiens”. »
  • Luc 8, 1-3
    « Ensuite, Jésus alla dans les villes et les villages pour y proclamer et annoncer la bonne nouvelle du règne de Dieu. Les douze disciples l’accompagnaient, ainsi que quelques femmes qui avaient été délivrées d’esprits mauvais et guéries de maladies :Marie, appelée Marie de Magdala, de laquelle étaient sortis sept démons ; Jeanne, femme de Chouza, un administrateur d’Hérode ; Suzanne et beaucoup d’autres qui utilisaient leurs biens pour servir Jésus et ses disciples. »

À la fin de l’épisode, je prends 3 minutes de silence et je parcours intérieurement ce que j’ai pu ressentir du début à la fin.

Dans cet épisode, on ne voit Jésus qu’à la toute fin. Il nous montre comment l’histoire de l’Évangile, c’est d’abord celle de Dieu qui vient rencontrer des hommes et des femmes dans leur quotidien, leur histoire, leurs problèmes et leur espérance.

Qu’ai-je ressenti en découvrant la vie de ces différents personnages ?

II. Temps de partage

Dans ce premier épisode, il est beaucoup question du nom ou du surnom. Marie se fait appeler Lilith, Matthieu est traité de « publicain de merde », Simon se donne le titre d’homme « Simon le cogneur », il apprécie que sa femme l’appelle le « stoïque », Jean- Baptiste est évoqué comme le « mangeur de sauterelles », l’homme tenant la taverne se fait traiter d’eunuque… Autant de noms qui cachent, exagèrent ou défigurent leur identité.

  • 1)  J’ai peut-être moi aussi reçu plusieurs surnoms dans ma vie. Je peux partager les différents surnoms que j’ai pu recevoir tout au long de ma vie.
    En particulier indiquer s’il y en a un qui m’a mis en valeur et un autre au contraire qui m’a enfermé, mis une étiquette blessante.
  • 2)  J’ai aussi reçu un prénom. Ce prénom a peut-être une signification. Je peux partager ce qu’il veut dire, d’où il vient et comment ce prénom que mes parents m’ont donné a pu m’influencer.

Dans l’épisode est répété plusieurs fois le verset du livre d’Esaïe :

« Ainsi parle le Seigneur, lui qui t’a créé, Jacob, et t’a façonné, Israël : Ne crains pas, car je t’ai racheté, je t’ai appelé par ton nom, tu es à moi. »

Aujourd’hui on découvre qu’avant de rencontrer Jésus, tous les disciples ont des peurs et des soucis personnels qu’ils gèrent avec peine : Marie et ses démons, Pierre et André et leurs problèmes d’argent, Matthieu et sa réputation de paria, Nicodème enfermé dans un rôle de religieux irréprochable…

  • 1)  Est-ce que Jésus m’a déjà libéré d’une peur ou d’une situation compliquée ?
  • 2)  Est-ce qu’il y a aujourd’hui quelque chose qui me fait peur et que je voudrais partager ? Si je ne le partage pas, je peux prendre le temps quand même de penser à cette situation.
  • 3)  Je peux relire d’abord pour moi la phrase du prophète Esaïe en mettant mon propre nom à la place de Jacob/Israël. Je peux même prendre le temps de l’écrire sur un papier
    (laisser un petit temps de silence pour que chacun puisse faire la démarche) :
    « Ainsi parle le Seigneur, lui qui t’a créé, ___________, et t’a façonné, _________ : Ne  crains pas, car je t’ai racheté, je t’ai appelé par ton nom, tu es à moi ». Je peux partager comment cette phrase me rejoint ? Que suscite-t-elle en moi ?